Sous-titrés en anglais

Ces films sont aussi sous-titrés en anglais ou sont en anglais.

Vakuum
Christine Repond
Suisse
77′
Au milieu des préparations pour son 35e jour de mariage, Meredith découvre avec surprise qu’elle est séropositive. En tant que transporteur, seul son mari André est remis en question. Plus la célébration du mariage se rapproche, plus fragile semble le mariage qui devrait être célébré. Courageuse, fâchée et pleine d’espoir, Meredith se rend compte qu’il ne peut y avoir un futur commun que si elle pardonne complètement à André. Mais combien de blessures l’amour endure-t-elle?
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Crossing the Dust (2006)
Shawkat Amin Korki
Iraq
73′
2003, la statue de Saddam Hussein vient de tomber sur la place centrale de Bagdad. Asad et Rachid célèbre l’événement avec leurs camarades miliciens kurdes. Nous sommes au nord du pays, dans la partie kurde. Les deux compères ont pour mission de ramener de la nourriture d’un autre quartier de la ville. Sur le chemin du retour, le jovial Asad décide de recueillir un jeune garçon, qui semble perdu, et de le ramener chez ses parents. Rachid n’est pas très chaud, ayant toujours en tête le but de leur mission. Sa froideur tournera en quasi haine, presque par réflexe, lorsqu’il apprendra le prénom du gamin: Saddam. Dans le même temps, deux parents éplorés cherchent leur garçon qui se prénomme lui aussi Saddam. S’agit-il du même enfant ? Dans le même style qui a fait la réussite de Kick Off, le réalisateur kurde irakien Shawkat Amin Korki, traite sur un ton léger, ou le drame n’empêche pas l’humour, une histoire tirée d’un fait réel : sous Saddam Hussein, les parents donnant à leurs garçons le prénom du dictateur se voyaient récompensés en monnaies sonnantes et trébuchantes. Un prénom maintenant difficile à porter pour les enfants. Amin Korki entretient le suspens jusqu’au bout de ce road-movie urbain que l’on regarde avec beaucoup de plaisir.
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Ecuador
Jacques Sarasin
Équateur
75′
Dans un monde à sens unique, où les pays du nord exportent leur modèle économique et politique dans le monde entier, il existe un pays d’Amérique latine qui s’est engagé dans une réforme profonde de ces modèles et invente une nouvelle gouvernance, pragmatique et humaniste.Ce pays est l’Equateur.Rafael Correa, économiste réputé, venu à la politique comme on part en mission, en est devenu le Président en 2006.Il a transformé un pays aux structures archaïques en une démocratie participative, sociale, indépendante et écologique.Aux équatoriens, il a apporté l'espoir que les vieilles structures figées n'étaient pas une fatalité, que tous les citoyens avaient leur mot à dire et qu'il y aurait enfin quelqu'un pour les écouter. Ce film est fait pour tous, habitants des pays riches et en développement ; il ouvre des perspectives concrètes vers une nouvelle façon de vivre la globalisation. Il montre que d’autres projets politiques, écologiques et économiques sont possibles.Ce film n’est pas un film sur l’Equateur, mais sur un projet politique, sur une utopie devenue réalité. Il est porteur d’idées, de réflexions et de solutions sur les crises actuelles, et il propose un vrai débat autour de l’avenir de nos sociétés.
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Eduardo Falú (2009)
Oliver Primus Arno Oehri
Argentine
81′
C'est un voyage poétique à travers la musique singulière du maître Argentin Eduardo Falú (1923 - 2013) et en même temps, un portrait intime de ce musicien exceptionnel. Partant de sa relation intense avec le paysage du nord-ouest argentin, sa chère ville de Salta, les vastes plaines de la Pampa, les majestueuses montagnes des Andes et leurs canyons, les vallées fertiles et les hauts plateaux désertiques. Le film suit pas à pas chaque étape de la vie et carrière de Falú.
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Ken Bugul
Silvia Voser
Sénégal
64′
Ken Bugul est une écrivaine sénégalaise qui vit là où son âme est ancrée, en Afrique. Et sa vie est exceptionnelle. Le film que lui consacre Silvia Voser en fait une existence emblématique de la condition de toutes les femmes et de tous les rapports entre l’Afrique et l’Occident. Ken Bugul est considérée comme l’un des plus brillants écrivains sénégalais et de la littérature en langue française de ces dernières décennies. Au fil des ans, empreint d’une grande maîtrise de la langue française et d’une intransigeante attention apportée au respect de l’énoncé des signifiés de sa langue originelle, le wolof, ses romans sont devenus de véritables points de référence dans le domaine des études de linguistique. "Ce que vous lisez en français dans mes romans, c’est la façon dont on pense et parle, en wolof, dans mon village". L’histoire personnelle de Ken Bugul est assombrie par l’histoire mouvementée de l’Afrique. Elle naît en 1947 dans un village isolé du Sénégal alors colonie française. Son père a déjà 85 ans et sa mère les quittera quand elle n’aura que cinq ans. Cette expérience est fondamentale pour Ken Bugul. Mal aimée mais pleine d’énergie et de goût pour la liberté, elle fait d’exceptionnelles études pour une fille villageoise, à cette époque. En 1971, elle part en Europe poursuivre des études supérieures, elle y fréquente la haute bourgeoisie, y découvre de nouvelles idéologies et libertés, l’art moderne, la drogue, l’alcool, la solitude, l’incompréhension et le mépris, la prostitution par besoin d’affection. Comme elle écrit dans « Le baobab fou » : « Pendant vingt ans je n’avais appris que leurs pensées et leurs émotions. Je pensais m’amuser avec eux, mais en fait j’étais plus frustrée encore : je m’identifiais en eux, ils ne s’identifiaient pas en moi." C’est une jeune femme brisée qui rentrera, seule et pauvre, au Sénégal. Considérée comme folle, rejetée par sa famille et la société. Durant deux ans, elle dort dans les rues de Dakar, fréquente les marginaux, les mendiants, les prostituées et les artistes. C’est dans ces conditions, sale, affamée, presque dénudée, qu’elle commence l’ébauche de son premier roman « Le baobab fou ». Epuisée, elle rentre dans sa famille. Elle trouvera refuge, écoute et réconfort chez le Sérigne, un homme sage et vénéré. Il la prendra comme 28ème épouse, lui permettant ainsi de se réintégrer dans sa société et la soutiendra dans son désir d’écriture et de liberté. Il décède en 1981, un an avant la sortie de son premier roman « Le baobab fou ». C’est un succès. Ken Bugul est invitée à présenter son livre de par le monde, rencontre un médecin béninois avec lequel elle se marie et s’installe au Bénin. Ils ont une fille Yasmina. Il décède quatre ans plus tard. Depuis près de trente ans, roman après roman, Ken Bugul compose une peinture de sa vie de femme, de ses amours, des rapports entre son continent et l’occident. « Ecrire, dit Ken Bugul, c’est éblouir les sens, et les sens n’ont pas de couleurs ». Silvia Voser nous introduit avec délicatesse dans ce monde secret et tourmenté, celui d’une artiste dont l’œuvre nous projette vers une compréhension du monde rarement atteinte.
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Kick Off (2009)
Shawkat Amin Korki
Iraq
81′
Des réfugiés occupent le stade de Kirkouk, n’ayant toujours pas trouvé de lieu où vivre. Deux amis passionnés de football veulent monter, après la victoire de l’Irak à la coupe asiatique, un tournoi entre Turcs, Arabes, Kurdes et Assyriens. Mais rien n’est simple en Irak. Dans un style enlevé, Shawkat Amin Korki livre une comédie dont la fraîcheur et l’humour soulignent d’autant plus le destin tragique de ces réfugiés dans leur pays. * * * * * * La joie de jouer En réalisant Kick Off, le jeune cinéaste kurde Shawkat Amin Korki réussit, avec peu de moyens et, surtout - car leur présence crève l’écran -, des acteurs nonprofessionnels, à exprimer la réalité d’une situation où la nécessité de la survie n’empêche pas de vouloir vivre. C’est-à-dire aussi aimer et jouer. Et ces acteurs le démontrent eux-mêmes, laissant voir leur propre joie de jouer, en faisant parfois des tonnes, pour notre plus grand plaisir. Aucun artifice pourtant, pour nous faire oublier la guerre et l’occupation: le bruit récurrent d’un rotor d’hélicoptère, le son des bombes, au loin, le petit frère d’Asu qui se traîne sur une jambe, une mine lui ayant enlevé l’autre, la situation précaire de ces réfugiés dans le stade. C’est ce stade qui sera d’ailleurs le lieu unique de l’action, dont les tribunes sont les remparts, protection hypothétique contre les agressions du monde extérieur. Le réalisateur nous en fera découvrir quasiment tous les recoins, montrant l’ingéniosité de leurs occupants à les utiliser. Korki ne nous cachera pas non plus les difficultés de coexistence entre les différentes nationalités, au moment de trouver un arbitre pour le tournoi d’Asu et Sako. Mais, là encore, il usera du ton de l’humour. Le choix du noir et blanc à la fois apporte une touche vériste, proche du documentaire - certaines scènes donnent l’impression du « direct », accentué par le sentiment d’improvisation qu’elles laissent - sentiment qu’il faut prendre ici dans un sens positif: car il apporte une telle vie au récit. Paradoxalement, cette absence de la couleur rappelle également certaines vieilles comédies italiennes des années cinquante avec leurs personnages haut en couleurs. S’il fallait trouver un film pour nous faire aimer l’Irak et les Irakiens, ce serait Kick Off qu’il faudrait choisir. Sans discussion. Martial Knaebel
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Kosh ba Kosh (1990)
Bachtiar Chudonasarow
Tadjikistan
92′
Mira arrive de Russie à Douchanbe, capitale du Tadjikistan, pour revoir son père, un joueur invétéré. Il perd souvent, et à la dernière mise, il perd tout, jusqu'à sa fille, qu'il doit donner en gage, qui plus est à un vieux joueur. Heureusement, Daler, un jeune joueur, tombe amoureux de Mira et l'aide à s'évader. Il l'emmène dans son monde à lui. Daler est le responsable d'un téléphérique quelque peu déglingué. Ses cabines transportent de tout: des touristes, du foin, des caisses de bière, le butin de divers «casses». Elles servent aussi de havre à de fugitifs rendez-vous amoureux. C'est là qu'il arrange pour Mira un inoubliable repas entre ciel et terre. Ainsi commence l'histoire d'amour de Mira et Daler. A la fin du film (mais pas de l'amour), Mira aura découvert un monde étranger, parfois exotique. Elle aura entrevu une guerre civile. Elle aura accompagné son père dans son agonie et Daler sur le chemin d'une vi nouvelle. «Kosh ba kosh» raconte une histoire merveilleuse, drôle et généreuse, une histoire d'amour passionné. C'est une allégorie de la séparation entre des êtres, de la perte de repères, de la rupture avec des pays, avec un univers social et politique. Et plus important encore, c'est le récit de la plus vraie des séparations, celle qui s'ouvre sur l'avenir.
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Le serviteur de Kali (2002)
Adoor Gopalakrishnan
Inde
88′
Kaliyappan est le bourreau officiel de la principauté de Travancore. Il réside à l'écart d'un petit village situé dans les paysages somptueux du Kerala, car le bourreau ne doit avoir aucune relation avec les personnes susceptibles d'être jugées. Depuis des générations, la famille de Kaliyappan vit des privilèges que lui accorde le Maharadjah après chaque exécution. Mais ces privilèges se font de plus en plus rares, et le vieux bourreau est fatigué d'accomplir une besogne devenue malédiction. «Je travaillais sur un autre projet, en 1989, lorsque j'ai eu envie de faire un film sur les thèmes du crime et du châtiment. Ce n'est que beaucoup plus tard que j'ai lu dans un journal un entretien avec le dernier bourreau du Kerala. J'ai conservé ce texte et un jour tout ce que j'avais lu m'est revenu à l'esprit. Pour ce film qui aborde un sujet un peu particulier, les recherches ont été plus longues que d'habitude. Je n'ai pas voulu commencer à filmer avant d'être entièrement satisfait. Le film soulève la question de la responsabilité. Quand les lois humaines sont incapables d'atteindre la vérité, de désigner le coupable, de le punir, alors que tous savent qu'un innocent est condamné à sa place, qui est responsable? La magistrature, les législateurs, le système gouvernemental, le bourreau ou l'Etat lui-même? À ma connaissance, toutes les sociétés, mêmes les plus avancées, ont été incapables jusqu'à ce jour de répondre à ces questions. 'Le serviteur de Kali' aborde également un problème de société. Initialement concentré sur le crime et le châtiment, le film est devenu plus que cela au fil de l'écriture. Je dirais qu'il traite de la responsabilité individuelle et collective; du péché et du rachat, de la liberté, à la fois réelle et ressentie. Il me permet d'évoquer ma frustration personnelle comme «être social». C'est aussi un film dans lequel je parle de ma terre, le Kerala.» Adoor Gopalakrishnan
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Lluvia (2008)
Paula Hernández
Argentine
106′
Depuis trois jours, la pluie tombe abondamment sur Buenos Aires. Alma et Roberto ne se connaissent pas encore. Solitaires et vulnérables, à la merci des flots diluviens qui s’abattent inexorablement, ils cheminent tous deux à travers la capitale. Leur rencontre fortuite va bouleverser le cours des événements. Un film somptueux, réalisé de main de maître par l’une des plus douées représentantes de la nouvelle vague du cinéma argentin. En plein embouteillage, sous une pluie torrentielle, Alma semble faire comme les autres passagers des voitures voisines, attendre tranquillement, par habitude plus que par raison, que le blocage se désengorge et que la circulation se fluidifie à nouveau, pour enfin pouvoir reprendre sa route et atteindre sa destination. Malgré ce calme apparent, il y a quelques jours, elle a quitté l'homme avec qui elle partageait sa vie depuis neuf ans. Elle est partie sans but précis, spontanément, emportant furtivement quelques effets personnels, sa voiture comme seul et ultime refuge. Après plus de trente ans passé en Espagne, Roberto est revenu à Buenos Aires, sa ville natale qu’il avait quitté enfant, avec sa mère. Désormais, il ne connaît plus personne, ne possède plus aucun lien avec la capitale argentine. Hormis ce père qu’il n’a plus revu depuis son départ et qui est au crépuscule de sa vie, dans le coma. Son appartement doit être vidé rapidement. C’est le but de ce retour sur ses terres d’origine, laissant, pour quelques jours, sa famille derrière lui. Alma est en quête de changement, sans trop savoir quoi. Elle a atteint un point charnière de sa vie et erre à travers la ville, à la recherche d’une échappatoire. Roberto cherche des pistes, des réponses, à propos de la vie de son père qu’il n’a pas connu, de ses choix passés. Un soir, subrepticement, au milieu d’un embouteillage, leur route va se croiser. Sous la pluie, encore. Avec une finesse désinvolte, une photographie impeccable, des acteurs au charisme évident (Valeria Bertuccelli, qui interprète le personnage d’Alma, a notamment joué dans XXY) et une structure narrative parfaitement maîtrisée, la réalisatrice Paula Hernandez confirme avec Lluvia, son troisième long métrage, sa place aux côtés des plus talentueux artisans de la nouvelle vague du cinéma argentin.
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Markus Raetz (2007)
Iwan Schumacher
Suisse
75′
Dans le monde de l’art, le Suisse Markus Raetz bénéficie d’une renommée internationale. Pour la première fois, l’artiste bernois a autorisé une équipe à pénétrer caméra au poing au sein du travail qu’il accomplit depuis 40 ans. Markus Raetz a un septième sens pour appréhender l’extraordinaire. Ses œuvres stupéfient comme les tours de passe-passe d’un magicien. Elles remettent en question nos habitudes visuelles et nous montrent les choses d’une manière tout à fait différente. Pour parfaire ses surprises visuelles déconcertantes, le plus clairvoyant des artistes suisse sait se servir de techniques, matières et médiums les plus divers. Une grande partie de l’œuvre de Markus Raetz est reliée au mouvement ; des installations et des sculptures modifient leur propre apparence du fait qu’elles se meuvent elles-mêmes ou que l’observateur se déplace autour d’elles. C’est ainsi qu’un homme portant un chapeau devient un lapin, ou qu’un OUI se transforme en NON. Markus Raetz est un homme érudit, plutôt timide, qui parle sans élever la voix et avec humour. Tout en découvrant comment fonctionne son regard très personnel sur le monde, nous apprenons à connaître l’homme qui se cache derrière ces œuvres merveilleuses.
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Opera Java (2006)
Garin Nugroho
Indonesie
115′
Dans l'ensemble de son œuvre, Garin Nugroho s'est toujours soucié de son pays, de ses errements, des injustices qui y prévalent. Le plus souvent, cet engagement se faisait au premier degré. Tel n'est pas le cas avec OPERA JAWA. Il a choisi la métaphore, qui plus est, chantée et dansée. Comment peut-on traiter de la misère et de la libération du monde en Opéra? C'est pourtant bien ce que Verdi faisait au 19ème siècle. Ce que Bernstein a mis en musique avec WEST SIDE STORY. Et c'est ce que réalise le cinéaste indonésien. Cette mise en scène somptueuse qui suscite le plaisir des sens, nous rappelle ce que l'art peut apporter aux peuples du monde. Le plaisir d'entendre une musique et des chants qui ne soient pas folkloriques mais modernes, de voir des tableaux - comment qualifier autrement ces plans si esthétiquement construits? - aux couleurs chatoyantes et celui, enfin, de suivre une histoire d'amour universelle. N'oublions pas les ballets dont la grâce et la légèreté sont merveilleusement bien rendues par une prise de vue presque voluptueuse. OPERA JAWA va marquer le cinéma indonésien, il devrait aussi marquer le cinéma contemporain, prouvant qu'il n'est pas besoin de gros budget pour accomplir un film à la mise en scène ample et spectaculaire. L'engagement, l'imagination et le talent sont plus utiles. Garin Nugroho en possède à revendre. Il aime aussi la vie. Il n'y a pas d'autre explication à cette réussite. Martial Knaebel
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Storia probabile di un Angelo - Fernando Birri
Paolo Taggi Domenico Lucchini
Italie
76′
Voyage dans le monde et l’œuvre de Fernando Birri, le grand maître du cinéma sud-américain. Comme celui-ci le disait, ce sont «les dernières volontés de son cinéma spirituel».
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Toula ou le génie des eaux (1973)
Moustapha Alassane
Niger
72′
Les dieux ont condamné le pays à la sécheresse. Il semble n'y avoir aucun espoir. Un devin convoqué par le roi réclame le sacrifice d'une jeune femme pour mettre fin à la colère divine. Un jeune amoureux décide d'aller chercher de l'eau pour sauver la jeune fille, mais quand il revient avec une bonne nouvelle, il est trop tard: les dieux ont déjà été satisfaits et Toula a disparu dans le marais sacré.
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Trans-Cutucu, retour à la forêt (2009)
Lisa Faessler
Équateur
92′
Deux énormes bulldozers jaunes creusent simultanément la terre rouge carmin alors que plusieurs chevaux se lèchent mutuellement leurs plaies dues aux lourdes charges qu’ils transportent. À quelques mètres de là se parque un car pour permettre à des touristes occidentaux de descendre. Ils souhaitent atteindre à pied les cabanes en bois au-dessus du chantier. Il s’agit de la construction de la route Trans-Cutucú Amazonía, qui traversera les terres quasiment vierges des Indiens. Elle servira à faciliter le transport du bois depuis les villages jusqu’à la capitale de la province Morona-Santiago. Dans Trans-Cutucú, la réalisatrice Lisa Faessler montre les rudes conditions de vie des indigènes Equatoriens, qui subissent une pression croissante de l’industrie. Un agriculteur cultivant la canne à sucre explique qu’il n’arrive plus à se débarrasser de sa récolte, car les marchands ne lui paient quasiment rien. Comme la plupart de ses camarades du village, il ne peut rien faire d’autre que s’attaquer à son propre espace de vie, la forêt tropicale, pour en vendre le bois à bon prix. Pour opérer un contraste aux images de la situation actuelle, la réalisatrice utilise des séquences en noir et blanc datant de 1986, dans lesquelles de vieux Indiens, tour à tour ivres et sobres, racontent des histoires sur la nature mystique. Ces anciens documents présentent aussi des actes rituels: la recherche de chutes d’eau sacrées ou le fait de boire un alcool fort particulièrement mauvais. Un documentaire subtil sur le profond fossé entre une tradition centenaire et le caractère irrémédiable de la modernisation.
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Urs Fischer
Iwan Schumacher
Suisse
102′
A 36 ans, l’artiste suisse Urs Fischer vivant à New York, profite depuis quelques années d’une renommée internationale. Ce documentaire le suit pendant la préparation de son exposition exclusive dans un musée américain et nous amène ainsi dans la vie quotidienne et le métier d’un artiste.
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Drôles de rôles
Verena Endtner
Suisse
88′
Que se passe-t-il lorsque les pères font plus de travail familial que les mères ? Un aperçu des familles où les rôles classiques ont été inversés. Les expériences de la réalisatrice avec les enfants se retrouvent dans le film sous forme de courtes animations parodiques.
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Matlosa (1981)
Villi Hermann
Suisse
94′
Alfredo mène apparemment une vie semblable à celle de nombreux Tessinois qui, vivant en ville, passent le week-end dans leur village natal. Pourtant pour Alfredo ces week-ends ne sont pas une évasion mais un rite obsessionnel qu’il répète chaque semaine, à la recherche de son passé.
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Une ville à Chandigarh (1965)
Alain Tanner
Inde
53′
Suite à la partition de l’Inde en 1947, lors de laquelle la province du Penjab a été partagée entre l’Inde et le Pakistan, l’ancienne capitale Lahore s’est retrouvée en territoire pakistanais. L’architecte Le Corbusier fut chargé de construire une nouvelle capitale, Chandigarh, au pied des premiers contreforts de l’Himalaya. Un an apès la mort du Corbusier en 1965, Alain Tanner commence à réaliser un film dans la cité partiellement en chantier ou même encore à l'état de plans. Mais la métropole compte déjà quelque 120'00 habitants. Architecturalement parmi les plus modernes des villes, Chandigarh a été construite archaïquement à la main. Des impressions de cette ville horizontale et verte - la brique ne permettant pas d'expansion verticale - sont capturées dans de longs plans fixes et de nombreux travellings. Le commentaire de John Berger inscrit cette beauté visuelle dans une réflexion plus large: le climat a fortement influencé les décisions des planificateurs, tandis que la nouvelle cité n'a pas réussi à briser d'un seul coup les anciennes règles sociales. Ces règles continuent de déterminer le niveau d'éducation et de revenu, et les ouvriers qui construisent Chandigarh ne peuvent eux-mêmes pas y vivre. Cependant, le film partage l'optimisme du Corbusier dans sa conception de l'architecture comme instrument qui aide les hommes à clarifier leurs visions, à exercer leurs facultés de discernement et à établir de nouvelles relations, même si les effets ne se feront sentir qu'à long terme.
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Contradict
Peter Guyer et Thomas Burkhalter
Suisse
88′
Dans les rues d’Accra, deux amis organisent une collecte d’argent pour aider les États Unis d’Amérique: s’agit il d’humour ? De provocation politique ou est-ce une prophétie? Deux cinéastes suisses cherchent à répondre à ces questions avec l'aide de sept musiciens du Ghana.
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Utopia Blues (2001)
Stefan Haupt
Suisse
99′
Rafael, 18 ans, est bien décidé à conquérir le monde avec sa musique. « La vie est un jeu », dit-il – mais sans crier gare, les choses tournent au sérieux. Combien de liberté peut-on s’octroyer ? « Utopia Blues »raconte le numéro d’équilibriste d’un adolescent au seuil de l’âge adulte, et dépeint sa soif de liberté sur fond de contraintes et de normes sociales. Magnifiquement interprété et plein de sensibilité.
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Delwende (2005)
S. Pierre Yameogo
Burkina Faso
86′
Au Burkina Faso, les coutumes ancestrales font souvent force de loi, dans un état confronté à la misère et au poids des traditions. Dans les campagnes, en effet certaines morts inexpliquées sont attribuées à des mangeuses d'âmes, c'est-à-dire des femmes qui en raison de leurs pouvoirs occultes et maléfiques sont selon les villageois responsables de ces disparitions. Ces femmes sont alors marginalisées et deviennent les boucs émissaires de toute une société.
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Moi et mon blanc (2004)
S. Pierre Yameogo
Burkina Faso
92′
Mamadi en informe son collègue Franck et ils décident de conserver leur découverte. Poursuivis par les dealers, ils se réfugient chez les parents de Franck, où Mamadi découvre la vie des familles de banlieue, mais sont rapidement obligés de quitter le pays pour Ouagadougou. C'est au tour de Franck de faire l'apprentissage d'une autre culture. Tombé amoureux d'une belle prostituée, il décide, après maintes péripéties, d'ouvrir un vidéo-club, tandis que Mamadi, brillant diplômé, se trouve désormais confronté aux traditions familiales et à la lourdeur de l'administration moderne de son pays. Moi et mon blanc est un film d'aventure, une comédie dramatique contemporaine. Mamadi prépare une thèse de doctorat à Paris. Depuis plusieurs mois, il ne reçoit plus la bourse que son pays lui octroie et ne peut payer son loyer. Afin de survivre, il est obligé de travailler clandestinement comme gardien de nuit dans un parking. Grâce au système de télésurveillance, il découvre l'univers du parking, fait de prostitution et de trafic de drogue. Un soir, Mamadi déclenche involontairement l'alarme et aperçoit, dans la panique qui s'ensuit, deux dealers en train de camoufler un paquet avant de s'enfuir. Le colis renferme de la drogue et une forte somme d'argent.
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La dignité du peuple (2005)
Fernando Solanas
Argentine
116′
Dans la foulée de Mémoire d'un saccage, qui dénonçait les mécanismes politiques ayant conduit l'Argentine à la crise économique, La Dignité du peuple montre comment les organisations sociales et les populations les plus démunies ont fait face au chômage et à la misère qui sévissent depuis 2001.
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Mémoire d'un saccage (2004)
Fernando Solanas
Argentine
119′
De la dictature militaire à aujourd'hui, l'Argentine a subi l'un des effondrements économique et social les plus brutaux qu'un pays ait pu connaître en temps de paix. Ce pays riche et sa population ont vécu l'ensemble des traumatismes dénoncés par les altermondialistes et sous le regard complice des institutions internationales.
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Dès le 14 avril 2024
Love of Fate
Pierre-Alain Meier
Suisse
88′
1,5 million de Syriens ont fui au Liban. Un petit nombre d’entre eux peuvent bénéficier de programmes de réinstallation. Deux familles se trouvent à la veille de leur départ pour l’Allemagne. Mais au dernier moment, le destin s’en mêle. L’une des deux familles ne partira finalement pas. Le destin, lorsqu'il s'empare des êtres humains, ne permet aucun pas de côté. Il y a des remèdes pour la maladie, il n'y en a aucun pour la destinée.
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Laafi - Tout va bien (1991)
S. Pierre Yameogo
Sénégal
99′
Jour faste pour Joe : il a obtenu son bac C avec mention bien. Il veut étudier la médecine en France. Mais l’accord des autorités dépend des places disponibles. Faute de pouvoir satisfaire sa demande, on lui suggère de s’adresser au ministère… S’ensuivent moult démarches administratives d’où ressort le fait qu’au Burkina Faso, comme ailleurs, c’est parfois le piston qui fait marcher la machine bureaucratique.
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Beyond Boobs
Stéphane Correa et Kristen Vermilyea
Suisse
52′
Nichons. Melons. Bazookas : la réalisatrice américaine Kristen Vermilyea a de gros seins, des douleurs au cou, au dos et des problèmes d'équilibre.
 Sa décision de subir une réduction mammaire déclenche des questions sur l'identité, le vieillissement et le corps. Kristen part dans une série d'aventures loufoques et humoristiques avant de passer sous le scalpel. Version anglaise sans sous-titres
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Badenfahrt - Fest vereint
Rolf Lang
Suisse
78′
Comment une communauté peut-elle faire démarrer bénévolement un grand événement unique en Suisse ? Tous les dix ans, l'un des plus grands festivals publics de Suisse met la petite ville de Baden dans un état d'urgence positif. Qu'est-ce qui motive d'innombrables personnes dans les associations les plus diverses à participer à la création de la "Badenfahrt" et à s'engager de manière incroyable ?
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